Choeurs Lauréats
 

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26 juillet - 1er août 2008 :
15ème Festival des Chœurs lauréats

Dans la presse  

2006

De la voix de soprano qui monte vers le ciel sans difficulté aucune, à la voix de basse qui, elle, résonne et se prolonge, (…) l’Ensemble Calmus de Leipzig a conquis le public de la Cathédrale (…). Sans direction, sans un regard, les chanteurs ont élevé leur voix dans un ensemble parfait.

Nathalie Amerigo, La Tribune, le 3 août 2006

Le chœur Ankapella : La magie des voix… Si au Florilège de Tours, le chœur Ankapella a créé l’événement en enlevant le premier prix des ensembles vocaux ; à Vaison, il a séduit sana surprise les mélomanes par la richesse de son répertoire. A sa tête, Ahter Destan dont l’expression du visage reflète chacune des nuances qu’elle attend de ses choristes.

Danièle Rahmani, Vaucluse matin, 6 août 2006

Final suédois en apothéose. Sonorité, nuances, harmonie parfaite, tout était là et la magie a opéré sous la baguette de Cécilia Rydinger Alin. Le chœur possède un vaste répertoire où l’accent est mis sur la musique du 20e siècle et la création de commandes à de jeunes compositeurs. Un programme essentiellement de compositeurs contemporains, avec un clin d’œil à la musique française de Maurice Duruflé, Francis Poulenc et Jean Françaix en présence de Jacques Françaix fils du compositeur.

A. D. La Provence, le 10 août 2006

2005

Un chœur d’enfants polonais fascinant… Ces voix de filles du Chœur Puellae Orantes de la Cathédrale de Tarnow dirigées par le Père Pachota, sans gestes inutiles, mais avec l’âme d’un vrai musicien, conduit ces voix vers les sommets du chant choral… le Magnificat de Sawa, spécialement composé pour le chœur, fut grandiose,permettant aux voix des envolées imprévisibles et de se poser avec le même brio, en gardant une justesse irréprochable…

Claude Taelman, la Provence, 4 août 2005

Les plus belles voix d’Ukraine… Le chœur fit montre d’une perfection éblouissante y compris dans les œuvres d’une extrême difficulté, d’une qualité vocale superbe mais surtout d’une musicalité et d’une expression exceptionnelle. Ici, tout semble simple, limpide, de Palestrina, Hristov et Rachmaninov aux compositeurs lituaniens ; l’interprétation chaque fois admirable, des crescendos envoûtants a bouleversé le public, lequel a pourtant l’habitude, depuis 12 ans, des chœurs de très haut niveau… Galina Gorbatenko, leur chef, est une magicienne au geste souple, tendre et puissant à la fois, elle prote le monde choral dans ses mains, dans son souffle…

Danièle Rahmani, Le Dauphiné Libéré, 8 août 2005

2004

« Un chœur d’enfants russe au sommet de son art […] Venu de Sibérie et composé d’une quarantaine de jeunes, ce chœur auquel on a décerné les plus hautes récompenses, est bien l’un des meilleurs au monde. Non seulement toutes ses voix exhalent une pureté angélique, mais surtout elles parviennent à se fondre dans un ensemble si harmonieux qu’on est comme envoûté par la splendeur des chants […] Ludmilla Stebenjkova lui a donné son âme. Modelant les voix avec un minimum de gestes, elle leur permet d’atteindre les sommets de l’art vocal dans de superbes envolées, aussitôt suivies de pianissimi qui ressemblent à des soupirs arrachés au silence […] »

Claude Taelman, la Provence, 28 juillet 2004

« Les Philippins ont dévoilé à un public médusé la richesse incomparable de leur polyphonie et la force de leur musique populaire ! Ce concert fut somptueux et l’excellence de l’excellence était ce soir-là au rendez-vous. Anna Tabida incarne la grâce même et a le pouvoir d’irradier tous les sentiments que la musique lui inspire. D’une main qui rappelle le vol d’un papillon, elle suggère les accents et rehausse l’éclat des chants, tous imprégnés de lumière. Elle a aussi le don d’enflammer le chœur en lui donnant une puissance incroyable pour le laisser s’éteindre dans un murmure.

Danièle Rahmani, Le Dauphiné Libéré, 30 juillet 2004

« Rien d’étonnant à ce que ce chœur, créé par des étudiants de l’Université de Yamanashi, au Japon, remporte un succès mondial et gagne des prix dans tous les concours ! A la perfection des sons dont certains atteignent des dimensions inconnues pour nos oreilles d’occidentaux, s’ajoute la pureté et la justesse des voix […] le fruit d’un travail intense et minutieux […]

MP, La Tribune, 5 août 2004

2003

« Ouverture choc avec le grand chœur slovène […]. Ce chœur […] est tout à fait remarquable tant par son homogénéité que par la générosité et la chaleur qui émanent de toutes ses voix. Son nouveau chef, Ursa Lah qui, sans le secours de la moindre partition, détient le pouvoir de magnifier le chant en invitant sans relâche les choristes à se transcender. »

Claude Taelman, la Provence, 29 juillet 2003

« Ouverture flamboyante du festival […] un concentré de talent et de sonorité exceptionnelle. La direction ne souffre d’aucun excès, le geste est sûr, discret et d’une efficacité impressionnant. Avec une exceptionnelle facilité, les chanteurs passent d’un domine deus de Gallus à un pater noster de Verdi et laissent l’auditoire médusé. […] Quels sourires enfin sur leur visage quand le public debout ovationne la prestation. »

Danièle Rahmani, Le Dauphiné Libéré, 30 juillet 2003

« Un chœur national de jeunes des Pays Bas enchanteur, Du charme, il en était […] puisque cet ensemble vocal hollandais, créé en 1996, est exclusivement composé de jeunes filles de seize à vingt cinq ans. […] Enchaînant a capella les airs sacrés et profanes, alliant classique et folklore, le répertoire de cet ensemble aussi agréable à voir qu’à entendre fait partager à la fois talent et technique vertigineusement bien rodée, transportant le mélomane vers des rivages inexplorés où la voix féminine devient musique. »

La Provence, 1er août 2003

« Un dernier concert au plus haut niveau […]. Le chœur lituanien Brevis a pleinement justifié le grand prix européen 2003 obtenu à Tours. […]. La progression du chant est saisissante. Toutes les voix respirent une pureté immaculée et témoignent aussi d’une rare générosité. La direction de Jimtautas Venislovas, à peine marquée mais cependant très vigilante possède le pouvoir d’enflammer aussi bien les chants que de trouver pour chacun d’eux des nuances d’une douceur infinie. »

Claude Taelman, la Provence, 6 août 2003

2002

« Cet ensemble de Budapest est tout simplement prodigieux. […] La spontanéité, la ferveur et l’enthousiasme qui marquent tour à tour les chants paraissent appartenir au domaine de l’irréel. […] Valeria Szebelledi est en effet un chef de chœur extraordinaire, elle allie à un tempérament de feu un sens musical sans limite. […] Durant plus d’une heure et demie, ces enfants ont donné le meilleur d’eux-mêmes, en interprétant de mémoire, sans marquer la moindre pause, un répertoire emprunté à la musique sacrée et au folklore hongrois. […] A la fin, les choristes maintes fois rappelés par l’auditoire subjugué, sont revenus à trois reprises interpréter les plus beaux airs de leur pays. »

Claude Taelman, La Provence, 2 août 2002.

« Tout à la fois drôle et émouvant, ce concert était donné avec une apparente et déconcertante facilité […]. La pureté des voix du sextuor Banchieri – chacune d’entre elles est d’une richesse exceptionnelle – une musicalité parfaite : c’est un véritable moment de bonheur musical. […] Répertoire éclectique, mise en scène sur des morceaux plus fantaisistes, sourires, regards, complicité avec le public […] avec des clins d’œil aux Beatles et au folklore… japonais […] ont ouvert des horizons variés et grandioses. »

Nathalie Amérigo, La Tribune, 1er août 2002.

« Eblouissants Philippins […] ! Un chef extrêmement précis, à la gestique sobre et claire, qui modèle une pâte sonore exceptionnelle. […] La générosité des voix donnera à chacun des chants un relief incomparable […] que le public – médusé – écoute dans un silence quasi religieux. […] L’auditoire bouleversé par tant de beauté acclamera ce chœur exceptionnel, le remerciant pour ces beaux instants d’éternité. »

Danièle Rahmani, Le Dauphiné Libéré, 5 août 2002.

2001

« Nombreux sont les moments d’émotion et d’émerveillement que ces chœurs offrent aux mélomanes avertis. Non seulement ces chœurs sont tous parmi les meilleurs, mais ils nous font cadeau de musiques rares qui sont le reflet de l’âme et de la culture de leur pays. [C’est] l’art polyphonique dans toute sa pureté et ses plus belles expressions. »

Danièle Rahmani, Le Dauphiné Libéré, 27 juillet 2001.

« Des voix superbes pour le Chœur d’Israël […]. Cet ensemble a révélé une richesse extraordinaire. Toutes ses voix respiraient la beauté en donnant aux chants leur véritable sens. Elles étaient aussi capables de varier les formes d’expression à l’infini, sans jamais se départir d’une parfaite justesse. […] Les œuvres contemporaines, aux lignes mélodiques surprenantes, trouvaient également […] des accents d’une vérité saisissante. […] Remarquable concert en se faisant l’écho d’une rare force de conviction. »

Claude Taelman, La Provence, 31 juillet 2001.

« Qualifié de meilleur chœur d’enfants du monde par des jurys internationaux, le Vesna de Moscou incarne bien la beauté absolue. Ses quelque quarante voix féminines parviennent à se fondre dans un ensemble d’une merveilleuse pureté. Avec un minimum de gestes [le chef] modèle les voix à sa guise, souligne les inflexions de la mélodie en inventant pour elle des nuances célestes. […] Tout le loisir de révéler les multiples facettes de son talent, sans cesser d’éblouir l’auditoire massé dans la cathédrale de Vaison. Un auditoire qui était sous le choc de ce nouveau miracle de la polyphonie. »

Claude Taelman, La Provence, 1er août 2001.

« Le charme insolite du Chœur Brevis : on était immédiatement séduit par la remarquable homogénéité de ces trente choristes venus de Lituanie. [Le chef] n’hésitait pas à déplacer ses choristes dans le chœur de la cathédrale de Vaison, pour obtenir des résonances d’une amplitude parfois très impressionnante. […] Le programme du concert élargissait son horizon grâce à des œuvres de compositeurs baltes contemporains. Leur interprétation reflétait la volonté de donner le plus beau sens à ces morceaux, tous marqués par l’originalité de leurs tons. Souvent porteurs d’un message d’espoir, ils donnaient lieu à de superbes envolées […] suivies de retombées d’une extraordinaire soudaineté. Au moyen d’effets sonores les plus divers, mais toujours parfaitement contrôlés, on découvrait alors la singulière beauté de ce langage venu du Nord. »

Claude Taelman, La Provence, 2 août 2001.

2000

« Festival d’Avignon : le Chœur philharmonique d’enfants de Prague a conduit le public dans un exaltant voyage musical. […] Un magnifique concert où, avec des œuvres d’Arcadelt, Monteverdi, Victoria, Kodaly et Holst, la pureté, la justesse et la beauté des voix des 37 jeunes filles et des 3 garçons âgés de 13 à 18 ans, ont subjugué l’assistance sous la direction précise et nuancée du professeur Jiri Chvala. […] Ce grand moment d’émotion musicale a été salué par Marcel Corneloup, directeur fondateur du Festival des Chœurs lauréats, et Bernard Faivre d’Arcier, directeur du Festival d’Avignon. »

Le Dauphiné Libéré, 1er août 2000.

« Un extraordinaire parcours à travers quatre siècles de musique ! […] Les chants ont trouvé des résonances d’une beauté à couper le souffle ; imaginez six voix superbes, trois de femmes et trois d’hommes. […] Avec un égal bonheur, Nordic Voices varie les formes du chant à l’infini sans jamais se départir d’une justesse exemplaire ; pas de leader, mais – miracle de la musique – les interprètes respirent aux mêmes rythmes, traduisent les mêmes nuances et partagent bien sûr les mêmes émotions qu’ils communiquent à leur auditoire avec une force irrésistible. Dès lors, de Purcell à Schütz, de Reger à Vincent d’Indy et Messiaen, sans oublier les compositeurs norvégiens, la beauté n’a pas connu de limites, elle a atteint une hauteur prodigieuse. »

Claude Taelman, La Provence, 4 août 2000

1999

« Le Coro Nacional de Jovenes de Buenos Aires était le premier invité d’un festival qui s’annonce très riche en émotions. […] Ce chœur a une qualité rare, il crée l’émerveillement dès les premières mesures du chant, toutes ses voix sont rayonnantes et leur générosité ne semble pas connaître de limites. Sous la conduite irrésistible de Nestor Zadoff, elles ont des envols d’une force inouïe, puis viennent se poser sur de sublimes pianissimi. Précisons que les choristes, qui s’expriment sans l’aide de partitions, ont une confiance absolue en celui qui les dirige. »

Claude Taelman, La Provence, 29 juillet 1999.

« Un miracle du chant choral. […] Provenant du fond de la cathédrale, leurs voix qui possèdent l’éclat du diamant le plus pur répandaient mille lumières dans la nef. Car les quelque 30 choristes, de 9 à 15 ans, à majorité féminine, qui composent le Cor Vivaldi de Barcelone, ne s’expriment qu’avec leur cœur : à pleine voix, bouches fermées, ou encore en échos, leurs regards fixés sur celui qui les dirige, ils suivent passionnément toutes ses indications. Leur chef, c’est Oscar Boada qui avec un immense talent, a su forger une âme à cet ensemble en lui faisant partager son sens de la beauté. […] Ebloui, l’auditoire s’est levé à plusieurs reprises pour acclamer les interprètes de ce prodigieux concert. »

La Provence, 30 juillet 1999.

« Conduit avec un enthousiasme très communicatif par Régine Theodoresco, Calliope a clôturé en beauté le 7ème Festival des Chœurs lauréats. Dans des pages souvent d’une extrême difficulté, les voix rayonnent dans un superbe éclat, sont d’une justesse sans faille, les solistes s’y avèrent excellents. […] Et l’originalité de cet ensemble est aussi le rapport poésie et musique ; aussi, tout texte poétique – Gérard de Nerval, Clément Marot, Charles d’Orléans – est déclamé avant d’être chanté, donnant ainsi un relief extraordinaire et des effets incomparables aux sonnets ou rondels. […] Empli d’un vrai bonheur musical, les applaudissements intenses du public marquèrent la fin de ce 7ème Festival d’une très haute qualité. »

Danièle Rahmani, Le Dauphiné Libéré, 3 août 1999.

1998

« Chœurs lauréats : le bonheur est dans le chant ! […] Et quel bonheur ! En présentant dans la cathédrale de Vaison-la-Romaine le chœur Cantabile, le président Marcel Corneloup avait annoncé l’excellence dans la polyphonie ; ce fut vrai, ô combien, mais on découvrit en outre une joie indicible dans les regards de tous ces jeunes venus d’Israël nous faire apprécier la beauté du répertoire de leur pays. […] S’exprimant sans le concours de leur chef, qui s’est volontairement placé en retrait […], ils libèrent leurs voix, accompagnent le chant de mimiques parfaitement synchronisées, et s’expriment dans des unissons d’une pureté sans égale. […] Difficile de rêver d’une plus belle ouverture pour la 6ème édition du Festival des Chœurs lauréats ! »

Claude Taelman, La Provence, 30 juillet 1998.

« Ensemble vocal Orlando : des voix belles et généreuses […]. Aussi à l’aise dans la musique sacrée que dans le répertoire profane, cet ensemble vocal a conquis un auditoire captivé par le charme des voix et l’enthousiasme qui les fait briller. Les amateurs de musique sacrée n’ont pas alors caché leur bonheur. »

Le Dauphiné Libéré, 2 août 1998.

« Cantabile, un chœur céleste sous la voûte des cieux […]. Le concert commence dans un silence religieux ; les enfants en pantalon, tunique noire et boléro bleu font leur entrée en descendant l’escalier double, se rangeant avec aisance sur la scène ; sous la direction d’Eva Pitlik, les voix, pures et sublimes, s’élèvent dans les cieux, un murmure imperceptible qui s’amplifie. […] Le public est suspendu aux voix divines des chanteurs, toutes en mélodie, force de caractère, dirigée avec sûreté et souplesse par Mme Pitlik ; le public sous l’émotion et le charme vibre et applaudit les jeunes chanteurs qui interprètent : Eux aussi n’apprendront pas la guerre ».

Le Dauphiné Libéré, 2 août 1998.

1997

« Alexandre Vastek qui dirige les 29 chanteurs porte la perfection polyphonique au plus haut niveau ; avec lui on découvre une terre ukrainienne vivante dans son patrimoine choral ; cette nouvelle édition du Festival des Chœurs lauréats s’ouvre sur la grande excellence polyphonique. »

Le Dauphiné Libéré, 28 juillet 1997.

« Une beauté inouïe […]. L’auditoire enthousiasmé s’est levé à plusieurs reprises, dans un élan spontané, pour saluer l’extraordinaire performance du chœur Oreya. »

Claude Taelman, La Provence, 30 juillet 1997.

« Une soirée à vous aider à rencontrer le ciel, qui clôturait brillamment le 5ème Festival des Chœurs lauréats d’une très grande qualité, avec les Madrigalistes de Halle, un chœur qui atteint la perfection. »

Le Dauphiné Libéré, 4 août 1997.

1996

« Ouverture fantastique grâce au chœur Kallos […]. La cathédrale a accueilli l’un des meilleurs ensembles du monde ; ils sont arrivés de Tokyo, ne parlent ni le français ni l’anglais, mais sont capables de chanter toutes les musiques du monde. Le Chœur Kallos, c’est une quarantaine d’hommes et de femmes qui rivalisent d’élégance par leur présentation, comme dans l’expression de leurs voix. Avec ou sans partition, celles-ci atteignent aussitôt les sommets de l’art. »

Claude Taelman, Le Méridional, 30 juillet 1996.

« I Piccoli Musici : angéliques ! […] ce chœur d’enfants aux voix angéliques où les aigus sont contrôlés au millimètre, où aucune nuance n’est gommée, a montré l’homogénéité et la joie de chanter ; avec eux tout paraît transparent, d’une facilité déconcertante. C’est cela la grande classe internationale ! »

R.C. Pascal, Le Dauphiné Libéré, 1er août 1996.

« L’ensemble Pro Musica, symbole de perfection ; cet ensemble vocal féminin est sans doute le plus beau entendu au Festival des Chœurs lauréats, qu’il situe au plus haut niveau. […] Les quelque 45 jeunes filles, toutes vêtues du costume de leur région d’origine, n’ont aucune peine à trouver des accents d’une admirable pureté, et aussi d’une justesse irréprochable. Tout au long du concert, elles vont chanter a cappella, sans l’aide de partitions, mais dans la transparence de l’âme. Parfois, pour traduire un hymne de Gallus ou encore de courtes pièces de Béla Bartók, le chœur s’éclatera en plusieurs parties, mais quel que soit l’emplacement des chanteuses, leurs voix jamais ne perdent une once de leur magnificence. »

Claude Taelman, Le Méridional, 3 août 1996.

« Un final en apothéose […]. Le Chœur norvégien de la jeunesse a produit une très forte impression ; le chœur, qui s’est éclaté jusqu’au fond de la cathédrale pour nous donner une saisissante traduction d’Immortal Bach de Nystedt, se regroupe aussitôt pour chanter avec passion une mélodie de Francis Poulenc ; avec le Psaume 43 de Mendelssohn, l’interprétation prendra des dimensions grandioses, les choristes trouveront des sonorités d’une puissance et d’une richesse exceptionnelles. Nous sommes ensuite invités à découvrir les richesses du folklore norvégien. Le chœur, soutenu par instants par un violon aux sons joliment bigarrés, témoigne d’une exquise fraîcheur qui n’exclut pas la sensibilité. »

Claude Taelman, Le Méridional, 5 août 1996.

1995

« Voix bulgares à l’état pur. […] Ils ont de 7 à 15 ans, leurs regards convergent d’une manière extraordinaire vers celle qui les dirige. Nous sommes en face du plus beau chœur de garçons que l’on puisse entendre en Europe, quelque 25 choristes qui ont été choisis dans toutes les écoles de Sofia pour la qualité exceptionnelle de leurs voix. »

Claude Taelman, Le Méridional, 29 juillet 1995.

« La magie des voix des enfants de Sofia ; […] ils nous ont offert un concert comme nous n’en avions pas écouté depuis quelques décennies ; on se trouve là devant un événement qui laisse loin derrière nos petits chanteurs traditionnels ; car on y sent, derrière l’énorme travail, le génie musical en puissance et en devenir. Sensibilité, charme, attaques stupéfiantes, mélodies bien en place, crescendos envoûtants et accords dissonants et consonants parfaitement assimilés ; véritablement, ces jeunes Bulgares sont des « petits génies » de l’art choral… A vous aider à rencontrer le ciel ! »

Edmond Maby, Le Provençal, 29 juillet 1995.

« Le concert des Madrigalistes de Ljubljana a été un enchantement. Les voix d’une grande pureté, nuancées, atteignent la perfection par la musicalité et la richesse de l’interprétation ainsi que des solistes ; le public, sous le charme, a écouté avec ravissement. »

Le Dauphiné Libéré, 3 août 1995.

« Clôture en beauté […]. Devant un auditoire très nombreux et de qualité, M. Marcel Corneloup, directeur artistique du Festival des Chœurs lauréats, président d’A Cœur Joie international, a clôturé le 3ème Festival ; parmi la nombreuse assistance on notait la présence de M. Claude Haut, maire et conseiller général ; de ses adjoints, des maires et des représentants des villes où se déroulent les grands concours européens, des présidents des Mouvements A Cœur Joie à l’étranger. L’Ensemble vocal Phonandre représentait pour la première fois la France au Festival des Chœurs lauréats ; […] très belle soirée qui termina brillamment une 3ème édition d’une grande qualité. »

Le Dauphiné Libéré, 4 août 1995.

1994

« Tout comme à Cuba où le peuple chante et danse dans les rues sur des airs de rumba pour exprimer ses peines et ses joies, le public lui aussi s’est laissé entraîner par le chœur Exaudi de La Havane. […] Tour à tour complaintes, chansons d’amour tendres et poétiques, chaque morceau fut chaleureusement applaudi, et c’est sous les ovations d’un public debout qu’Exaudi offrit en bouquet final une version toute cubaine du… Pont d’Avignon ! ». Danièle Rahmani, Le Dauphiné Libéré, 28 juillet 1994. « I Cantori di Santomio tutoient les anges !. […] Des voix superbes qui se sont imposées par des interprétations d’une richesse poétique et expressive étonnante ; un moment choral d’une rare beauté. »

Le Dauphiné Libéré, 31 juillet 1993.

« Un éblouissant chœur de Vilnius […]. C’est un ensemble des pays baltes qui est venu de Lituanie pour clôturer un inoubliable festival. Il faut entendre les voix de ces choristes, il faut pouvoir être le témoin de l’émotion qui se dégage des chœurs pour tenter d’expliquer ce qu’on pourrait appeler un miracle de la musique ; l’auditoire massé dans la nef de la cathédrale retient son souffle dans un silence qui ressemble à une adjuration pour que les chants ne cessent jamais. »

Claude Taelman, Le Méridional, 2 août 1994.

« Une clôture en apothéose ; le sens profond de la musicalité, la puissance, la sensibilité et la beauté des voix […] ont littéralement fasciné le public qui par des applaudissements nourris a manifesté son plaisir autant que son admiration. […] Le chœur de Vilnius est vraiment un chœur d’excellence ; avec lui nous avons vécu un moment choral éblouissant, d’une richesse exceptionnelle. »

Le Dauphiné Libéré, 3 août 1994.

1993

« Avec un ensemble vocal exceptionnel de Riga : une magnifique ouverture dans une cathédrale comble. […] Un concert sublime ! »

Le Dauphiné Libéré, 29 juillet 1993.

« Un moment choral éblouissant, et très riche en nuances ; […] Imants Kokars est un chef étonnant. »

Philippe Chabro, Le Dauphiné Libéré, 27 juillet 1993.

« Emerveillement et émotion […], le Tapiolan Kuoro a envoûté le public par sa qualité musicale. […] L’auditoire, qui emplissait la nef de la cathédrale, a été envoûté par la rigueur et la beauté de l’interprétation musicale, […] à couper le souffle ! La pureté des jeunes voix, l’homogénéité de l’ensemble, le sens profond de la musicalité avec de sublimes pianissimi a fasciné le public. […] Un chœur d’exception et d’excellence qui a proposé un moment musical d’émerveillement et d’émotion atteignant les sommets de la perfection. »

Alain Layrisse, Le Dauphiné Libéré, 29 juillet 1993.

« Intériorité, finesse, musicalité : remarquable concert du Joyful Company of Singers de Londres. […] L’interprétation était de très grande qualité toute intérieure, de délicatesse et de finesse, avec de très belles nuances et une parfaite musicalité dans un esprit très anglais. […] Dans sa présentation, Marcel Corneloup s’est félicité du succès de ce premier Festival des Chœurs lauréats, très suivi par un public fidèle que la cathédrale Notre-Dame de Nazareth a eu de la peine à contenir. »

Alain Layrisse, Le Dauphiné Libéré, 30 juillet 1993.